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3 questions à... Paul Le Guen

 

Avec l’arrivée de Souza sur le côté droit, avez-vous trouvé votre équipe type ?
« Je pense que Souza apporte effectivement une bonne solution sur le côté droit. C’est un vrai spécialiste du poste, ce qui est très intéressant pour nous. Le onze de départ peut toujours changer au gré des matches, mais en ce moment j’opte pour la stabilité en raison de résultats intéressants depuis le début année. »  

Dimanche, le PSG affronte une équipe marseillaise très en forme…
« Les louanges concernant les performances de Marseille sont justifiées. L’OM joue bien et marque des buts. Ils ont pratiquement le meilleur potentiel offensif de Ligue 1, derrière Lyon. Ils sont en train d’exprimer toute leur force en ce moment. »  

Comment comptez-vous aborder ce match ?
« Avant de penser comment défendre, nous allons chercher à bien  attaquer. Ils vont nous forcer à sortir et à aller attaquer dans leur moitié de terrain. Nous souhaitons obtenir un bon résultat au Vélodrome. Nous savons que ce sera compliqué vu leurs dernières prestations et leur état de confiance. »

 

Entretien avec Lorik Cana

 

Paris se comporte mieux à l’extérieur qu’à domicile cette saison, même s’ils arrivent à gagner au Parc en ce début d’année 2008. Comment expliquez-vous cette constance du PSG à l’extérieur ?
C’est un parcours très étonnant car je crois que c’est la meilleure équipe à l’extérieur. On est prévenu : cette équipe marche bien loin de ses bases. Expliquer pourquoi ? C’est difficile, mais d’après moi, c’est quelque chose qui est de l’ordre psychologique et mental plus que technique. Peut-être qu’ils préfèrent attendre et contrer l’adversaire plutôt que de prendre le jeu à leur compte, comme ils sont obligés de le faire au Parc des Princes. C’est possible. Le public du Parc est très difficile et très exigeant.

Diané est l’homme en forme actuellement du côté parisien. Que pensez-vous de ce joueur ?
Diané a beaucoup de qualité et il a une part d’insouciance. Il joue un peu avec son instinct et il est capable d’éliminer trois ou quatre joueurs. Il a de grosses qualités de vitesse et de technique. Ensuite, je pense que ce qu’il a fait ces derniers temps est mérité. Derrière, il y a de grands attaquants comme Pedro (Pauleta) ou Luyindula, qui peuvent faire des choses fantastiques aussi.

Quant à vous, on vous avez eu très à votre aise en défense centrale contre Moscou. Là aussi c’est un atout supplémentaire pour l’équipe…
C’est un poste que j’affectionne. J’ai toujours été prêt à évoluer là où me demandait le coach. Ce poste-là je l’ai occupé à Paris, l’année de mon arrivée ici aussi, de même qu’en sélection. C’est mon 2e poste. Dans le futur, il est tout à fait possible qu’on me voit plus encore dans ce rôle là. Après, je ne sais pas s’il s’agit d’un futur proche ou lointain. Mais en tout cas je pense que c’est une bonne chose pour moi, comme pour l’équipe.

Devant vous, la paire Cissé-Niang semble en grande forme…
Je ne sais pas si on peut dire que la paire Niang-Cissé est en forme. Individuellement, ils sont en forme. Mais la paire de ces deux joueurs n’a pas encore montré tout son potentiel. Individuellement, ils ont eu des périodes fantastiques. Mamadou (Niang) a eu une très belle période, et a été très constant. Djibril (Cissé) fait des choses fantastiques depuis son retour en forme. Mais, ensemble, ils n’ont pas encore prouvé tout ce qu’ils pouvaient faire. C’est tant mieux pour nous car ils vont se retrouver en pleine possession de leurs moyens.

Il y a eu un petit aperçu de l’explosivité de ce tandem, mercredi soir, avec une passe de Djibril (Cissé) pour Mamadou (Niang)…
Ils ont des qualités exceptionnelles de vitesse et de percution. En plus, on a des joueurs talentueux et techniques derrière qui peuvent leur donner des bons ballons. Cela va être une de nos principales forces, voire même notre principale arme, pour la suite du championnat.

En un mot, quel est votre objectif pour dimanche  ?
Gagner, tout simplement. C’est le plus important.

 

Entretien avec Lorik Cana (2e partie)

 

Vous avez joué le « choc » des deux côtés. Que représente une victoire dans ce « classique » du championnat ?
A Paris, une victoire peut apporter un peu de crédit à une équipe ou à un groupe qui n’arrive pas à avoir les résultats escomptés. Cela reste une victoire de prestige mais aussi comptable. On préfèrerait voir ce choc se dérouler dans les hauteurs du classement, plutôt qu’avec des équipes qui sont 5e (l’OM) ou 12e (le PSG).

Mais cela reste un match à part, malgré tout…
Oui, mais je ne pense pas que cela permette de sauver une saison. C’est spécial mais ça ne permet pas de prendre huit ou dix points.

Avez-vous un souvenir particulier d’un match entre l’OM et le PSG ?
Bien sur. Quand on voit l’atmosphère, l’environnement, la pression… Ca laisse toujours des souvenirs. On en parle cinq ou six matches avant, alors qu’il y a des échéances importantes auparavant. Mais, c’est grâce à des matches comme celui-là que le football fait rêver. Sur le terrain, ce n’est pas toujours extraordinaire. Mais cet engouement et cette liesse populaire ont quelque chose de fantastique. On a un rôle important dans ces matches. Malheureusement, le seul que j’ai perdu, c’était en finale de la coupe de France. Mais, la plupart du temps, j’ai gagné ce « clasico » et j’espère que ce sera le cas dimanche soir.

Ce sera votre sixième « clasico » (*) avec le maillot de l’OM. Avez-vous toujours une émotion particulière à retrouver votre ancien club, le PSG ?
Bien sûr. Personnellement, j’ai joué et grandi au PSG. C’est un club qui restera toujours à part pour moi. J’ai beaucoup d’affection pour lui, car il m’a permis de devenir footballeur professionnel, de grandir au contact de grands joueurs, d’évoluer en 1ère division, de jouer la Ligue des Champions… C’est un souvenir qui ne s’effacera jamais. Mais, paradoxalement, pour moi, la meilleure manière de continuer sur cette lancée, c’est de gagner tous mes matches avec… Marseille.

La pression est-elle plus forte quand on porte le maillot du PSG ou celui de l’OM ?
Je ne pense pas que la pression soit plus forte à Paris qu’à Marseille. Des deux côtés, c’est un match très attendu qui déchaîne les foules et les passions. Ce qui est normal car cela reste les deux entités du football français. Même si Lyon domine sportivement, Paris et Marseille restent les deux plus grands clubs français. A Marseille, la pression est au quotidien.

Vous avez marqué une fois contre le PSG. C’était lors de votre première saison à Marseille (2005-2006). Quel souvenir gardez-vous de ce but et de cette rencontre ?
C’est un souvenir un peu spécial car c’était un clin d’œil du destin. Dès ma première année à l’OM, j’arrive à marquer et, surtout, à offrir la victoire à Marseille qui ne l’avait plus obtenue depuis longtemps. Avec les couleurs de Paris, j’avais pratiquement tout le temps gagné face à l’OM. C’était fantastique, car j’apporte la victoire à mon équipe et à mon club. C’est quelque chose qui m’a donné plus de confiance et m’a permis de plus me libérer.

 

Leurs premiers OM-PSG

 

Dimanche soir, l’Olympique de Marseille reçoit le Paris Saint-Germain pour ce qui reste, malgré la domination lyonnaise, le "clasico" à la française, l’égal d’un Barça-Real en Espagne ou d’un Juventus-Milan en Italie. Ce match revêt donc une saveur particulière. A fortiori lorsqu’on y participe pour la première fois. Ce sera le cas de l’entraîneur belge de l’OM. En effet, arrivé à Marseille à la fin du mois de septembre, Eric Gerets n’était pas à la tête de l’OM lors du match aller et vivra donc son premier classique français, qui plus est, au stade Vélodrome.  Ancien joueur du Standard de Liège, du Milan AC ou du PSV, il a déjà vécu nombre de ces chocs en tant que joueur mais aussi sur le banc en Hollande avec le PSV ou en Turquie avec Galatasaray. «OM-PSG, c’est un peu comme les matches entre le Standard et Anderlecht. ou les PSV-Ajax. J'en ai connu certains comme joueur, d'autres comme entraîneur. Et c'est autre chose dans la préparation. Je crois que c'est plus fort pour un joueur».

Ils vont également disputer leur premier OM-PSG au stade Vélodrome sous le maillot blanc :
Steve Mandanda, Jacques Faty, Juan Krupoviesa, Laurent Bonnart, Kanga Akalé, Karim Ziani, Benoît Cheyrou, Bolo Zenden, Charles Kaboré, Elliot Grandin, André Ayew

Des émotions, Laurent Bonnart et Benoît Cheyrou vont en ressentir beaucoup dimanche soir au moment d’entrer sur la pelouse d’un stade Vélodrome plein à craquer. Tous les deux disputeront en effet leur premier OM-PSG. Une rencontre qu’ils suivaient auparavant devant leur poste de télévision. «C’est un match à part pour tout le monde, je l’attends avec impatience et beaucoup d’envie également, explique Benoît Cheyrou, on est sur une bonne dynamique et l’ambiance au Vélodrome est grandiose en ce moment. J’espère vivre un grand moment dimanche».
«Quand j'étais au Mans, je ne m’attardais pas trop sur les autres matches, reconnait Laurent Bonnart quand on l'interroge sur d'éventuels souvenirs. «Même si les deux équipes n’étaient pas forcément en haut du classement, OM-PSG est toujours resté le choc du championnat. Ce sont toujours des matches de haute intensité comme en coupe d’Europe».

Et des grandes soirées européennes, le stade Vélodrome en a connues. Il ne faut pas remonter plus loin qu'à mercredi soir dernier. Au même titre que celle d'un grand club continental, la réception de Paris implique toute une ville et tout son peuple. «La ville, c’est l’OM. Et vice versa. C’est incroyable, affirme Eric Gerets. A Marseille, tout le monde respire football, c’est pour cela que ce match est unique pour les supporters. On vit pour avoir des moments pareils. De mon côté, je vais essayer de mettre en place la meilleure équipe possible sur le terrain. Au-delà de tout le reste, c ’est cela le plus important pour un entraîneur».

 

Tsonga-Mandanda : La rencontre

 
Tous les ans, l’Open 13 réunit tous les plus grands joueurs de tennis de la planète. Jo-Wilfried Tsonga, récent finaliste des Internationaux d’Australie, était de la partie. Malgré une élimination dès le premier tour, mercredi face à Mario Ancic, il a rencontré le lendemain, le gardien de but de l’Olympique de Marseille, Steve Mandanda qui lui a remis un maillot de l’OM floqué à son nom. Tous d'eux originaires du Congo, les deux hommes ont rapidement sympathisé.

 

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