foot81
Le classement
Pos | Club | Pts | J | G | N | P | BP | BC | Diff | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Lyon | 49 | 25 | 15 | 4 | 6 | 48 | 24 | 24 | ||
2 | Bordeaux | 48 | 25 | 14 | 6 | 5 | 43 | 26 | 17 | ||
3 | Nancy | 41 | 25 | 10 | 11 | 4 | 27 | 17 | 10 | ||
4 | Marseille | 38 | 25 | 10 | 8 | 7 | 35 | 27 | 8 | ||
5 | Nice | 38 | 25 | 9 | 11 | 5 | 23 | 18 | 5 | ||
6 | Le Mans | 37 | 25 | 11 | 4 | 10 | 30 | 33 | -3 | ||
7 | Lorient | 36 | 25 | 9 | 9 | 7 | 23 | 25 | -2 | ||
8 | Valenciennes | 35 | 25 | 10 | 5 | 10 | 31 | 25 | 6 | ||
9 | Monaco | 35 | 25 | 10 | 5 | 10 | 28 | 27 | 1 | ||
10 | Caen | 35 | 25 | 9 | 8 | 8 | 27 | 31 | -4 | ||
11 | Strasbourg | 32 | 25 | 8 | 8 | 9 | 26 | 25 | 1 | ||
12 | Saint-Etienne | 32 | 25 | 9 | 5 | 11 | 27 | 27 | 0 | ||
13 | Auxerre | 32 | 25 | 9 | 5 | 11 | 22 | 32 | -10 | ||
14 | Lille | 31 | 24 | 6 | 13 | 5 | 26 | 22 | 4 | ||
15 | Lens | 31 | 24 | 8 | 7 | 9 | 27 | 28 | -1 | ||
16 | Paris-SG | 30 | 25 | 7 | 9 | 9 | 23 | 23 | 0 | ||
17 | Rennes | 30 | 25 | 8 | 6 | 11 | 25 | 33 | -8 | ||
18 | Toulouse | 27 | 25 | 6 | 9 | 10 | 23 | 30 | -7 | ||
19 | Sochaux | 24 | 25 | 5 | 9 | 11 | 21 | 32 | -11 | ||
20 | Metz | 12 | 25 | 2 | 6 | 17 | 14 | 44 | -30 |
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Retour gagnant pour Taiwo
On connaissait ses centres puissants, ses missiles du pied gauche, sa puissance physique, sa vitesse… Mais on ne savait rien de son jeu aérien. Avec deux buts inscrits de la tête en deux matches, face au Spartak mercredi soir et contre le PSG dimanche, Taye Taiwo est en train de prouver qu’il peut être également décisif dans les airs.
Mais ce n'est pas tout, loin de là. Depuis son retour de la CAN, le Nigérian a nettement amélioré son placement et ses interventions. Puis, offensivement, outre ses deux buts capitaux (l’un a permis aux Olympiens de faire le break face à Moscou, l’autre a remis son équipe sur de bons rails face aux Parisiens), Taye Taiwo a été à l’origine du deuxième but olympien à Nice, il y a une semaine. Sur un de ces débordements dont il a seul le secret, il centrait fort au premier poteau et, après un mauvais renvoi de Lloris, Cissé doublait la mise face aux Aiglons.
«On sait tous que Taye (Taiwo) est un très grand joueur. Depuis qu’il est revenu de la CAN, il est décisif. Derrière, il fait un boulot énorme et en plus il arrive à marquer. C’est que du bonheur pour lui et c’est bien pour l’équipe» affirme Steve Mandanda. Pour Eric Gerets, la forme actuelle du défenseur gauche n’est pas une surprise. Elle était même attendue. «Je lui ai dit : «ça fait deux matches qu’il montre qu’il est un bon joueur mais il aurait pu le faire il y a quatre mois». Il était tout aussi puissant, tout aussi rapide et il pouvait sauter tout aussi haut» assure avec le sourire l’entraîneur marseillais.
Alors, comment expliquer un tel changement ? «Il se sent mieux dans sa peau et je l’ai remis très tôt dans le bain après la Coupe d’Afrique des Nations» argumente le coach marseillais. Lorsque Taye a dû partir avec les Super Eagles au Ghana, l’OM a recruté Juan Krupoviesa pour pallier ce départ à un poste essentiel. Une mise en concurrence bénéfique pour Taiwo ? «Il n’a pas baissé les bras et il le montre par ce qu’il fait actuellement» répond Eric Gerets.
Eliminé en quart de finale par le Ghana, Taiwo est revenu métamorphosé de la CAN 2008. «Je l’ai trouvé amaigri» plaisantait le coach olympien en conférence de presse. Mais depuis son retour, Taye n’est pas seulement plus mince. Il est plus fort, plus vif, plus concentré… Il a peut être tout simplement mûri. De bon augure pour la suite alors qu'une fin de saison palpitante se profile.
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Beaucoup de maturité,
Le soleil était caché par quelques nuages ce lundi matin sur Marseille. Mais ce n’était là que contraste avec les mines enjouées à la Commanderie. Période de vacances scolaires et lendemain de victoire dans le «clasico» obligent, la foule était nombreuse aux abords du centre d’entraînement où l’on pouvait distinguer des plaques d’immatriculation de toute la France. Cette petite centaine de passionnés a d’ailleurs eu le privilège d’aller observer le décrassage olympien ouvert exceptionnellement au public. Avant de former, à la mi-journée, une véritable marée humaine au pied de l’enceinte pour recueillir autographes et photos des joueurs après leur entraînement.
Un beau cadeau après celui vécu quelques heures plus tôt au Vélodrome. «Nous sommes heureux après une belle victoire, tout simplement , constate sourire aux lèvres Steve Mandanda lors de son passage devant la presse, «Ce ne fut pas facile, physiquement notamment, mais on a répondu présent, le groupe est costaud.» Car le succès face à Paris a des airs de match de la maturité pour cet OM qui vient d’enchaîner cinq victoires consécutives toutes compétitions confondues.
Mature, de par le scénario de la partie d’abord. Etre mené sur un penalty imaginaire au bout d’une demi-heure de jeu face au grand rival, voilà de quoi plomber le moral. «On n’a pas baissé les bras, note Valbuena, notre réaction a été un élément clé de cette rencontre.» De la maturité aussi dans l’attitude olympienne avec des joueurs qui ont su construire leur victoire avec patience, sans céder à l’affolement. Et quand on connaît le contexte d’un OM-PSG, cela permet de mesurer les progrès accomplis. «Dans n’importe quel match, on prend de l’expérience mais contre le PSG, ça fait particulièrement mûrir, poursuit Valbuena, on a appris qu’il fallait parfois être patient et savoir gérer un match. On a mieux géré les périodes difficiles. On essaie toujours d’offrir du beau jeu mais on s’est aperçu que parfois, il fallait laisser ça un peu de côté.»
Gérer les temps faibles, ne pas céder à la précipitation, appréhender un contexte bouillant, voilà autant de paramètres qui font une équipe mûre, même si le coach a relevé un match «moyen de l’OM sur le plan technique» avant d’ajouter : «Mais, on n’a pas paniqué et on a continué à jouer.»
L’OM désormais quatrième à trois longueurs de Nancy (3e), la remontée vertigineuse – l’équipe était 19e au soir d’OM-Lorient le 3 novembre - pourrait faire tourner le têtes. Le discours est tout autre. «On a de l’ambition mais il faut garder les pieds sur terre. La deuxième place pourrait être possible si Bordeaux (2e à 10 points de l’OM) avait 25 blessés, prévient le coach, c’est une équipe stable qui ne va pas perdre beaucoup de points. On peut rêver mais si on parvient à finir troisième, ce sera déjà extrêmement bien. Je ne laisserais pas mettre la pression sur mon équipe, il faut faire attention à ce qu’on n’exagère pas.» Chez les joueurs, on garde aussi la tête froide. «L’objectif est de faire le mieux possible» répondent en chœur Mandanda et Valbuena.
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Deux nouveaux adversaires
"J'ai débuté dans le club de Clemenceau, avant d'être repéré par le Besançon RC. A 16 ans, j'ai ensuite rejoint le Stade Rennais. Après avoir joué la saison passée en 18 ans nationaux, j'ai débuté cette saison en CFA, avec pour l'instant une dizaine de matches et trois buts."
Comment avez-vous appris cette première convocation en sélection, avec les moins de 19 ans ?
"C'est le directeur du centre de formation Gilles Rampillon qui m'a laissé un message pour m'annoncer la nouvelle. C'est une grande fierté, à titre personnel, mais aussi pour ma famille et mon club."
Connaissez-vous certains joueurs de la sélection ?
"J'ai déjà joué contre certains d'entre eux comme Mathieu Dreyer, Yoan Andreu. Surtout, je retrouve mon meilleur ami d'enfance, Morgan Schneiderlin."
Avez-vous pu évoquer avec Sylvain Marveaux et Jimmy Briand leurs déplacements en Espagne ?
"Sylvain n'a joué que dix minutes en remplacement de Yoan Gouffran (lors de la défaite 2-0 en amical à Bénidorm), mais m'a parlé d'une équipe espagnole très technique. Quant à Jimmy Briand qui évolue avec le groupe professionnel, je n'ai pas eu l'occasion de parler avec lui de son match en A' contre le Congo (0-0, match amical à Marbella)."
Les Tricolores retrouveront mercredi l'Ukraine à Vecindario (18h00) puis l'Espagne, vendredi à Gran Canaria
"On est tombé sur une sélection des Canaries solide, qui a joué assez bas en nous laissant prendre le jeu à notre compte. Il faisait très chaud et le terrain, avec des faux rebonds, n'était pas facile. On a manqué un peu de réalisme sur la fin où l'on s'est procuré plusieurs occasions de marquer. Face à des joueurs accrocheurs, ce n'était pas un match facile. Le score de 0-0 n'est pas un mauvais résultat."
Vous retrouvez ce soir l'Ukraine, qui a perdu hier (1-0) contre l'Espagne.
"On a assisté à la première période de ce match où les Ukrainiens se sont retrouvés menés 1-0. Ils ont touché par deux fois les poteaux espagnols et ont posé des problèmes à leur adversaire. Ils possèdent une équipe solide avec un attaquant puissant devant. Ils ne vont pas être évidents à jouer. La fraîcheur physique sera un paramètre important ce soir. Les deux équipes ont joué leur premier match sous une forte chaleur. J'espère que l'on aura bien récupéré. Cela va être en tout cas un bon test. On va essayer de gagner aujourd'hui pour pouvoir jouer une finale contre l'Espagne vendredi."
Après votre longue indisponibilité, être appelé en sélection et disputer votre premier match hier ont dû vous faire chaud au cœur, n'est-ce-pas ?
"Lorsqu'on a une pubalgie, il faut prendre son mal en patience. Cela fait du bien de retrouver le chemin des terrains. Il a fallu travailler pour retrouver le rythme mais physiquement je me sens bien. Je suis content de retrouver le groupe. Il y a un challenge intéressant avec une place à gagner pour disputer, fin mai, le prochain Tour Elite en Suisse. La concurrence est importante mais mon ambition est de faire une belle seconde partie de saison en club et sous le maillot bleu."
Pouvez-vous nous rappeler votre parcours personnel ?
"J'ai débuté à l'AC Arles avant de rejoindre le FC Sochaux en moins de 14 ans. Après avoir été vice-champion de France dans cette catégorie et aussi en moins de 16 ans, j'ai remporté avec les moins de 18 ans la finale de la Coupe Gambardella-CA la saison dernière contre Auxerre (2-2, 5 t.a.b. à 4). J'ai intégré la sélection tricolore en décembre dernier avec les moins de 18 ans à l'occasion de deux matches amicaux contre l'Italie."
Quel type de défenseur êtes-vous ?
"J'évolue en défense centrale. Je suis assez rapide. Je n'ai pas un très grand gabarit car je mesure 1m79 mais j'ai un bon timing dans le jeu de tête. J'essaye d'être le plus solide possible dans les duels et de soigner ma relance."
Les Ukrainiens ont marqué sur une de leurs rares incursions sur un penalty concédé à la 61ème minute (1-0).
Devant faire face à beaucoup d'absents (N'Gog, Obertan...), les jeunes pousses françaises disputeront un dernier match face à l'Espagne vendredi
"Contre l'Ukraine, on a été vraiment stoppé dans notre élan après le penalty. On avait l'emprise sur le match depuis le début et ce coup du sort nous a fait mal moralement. On s'est procuré beaucoup d'occasions mais sans parvenir à concrétiser. Nos adversaires ont fait jouer leur physique, faisant même beaucoup de fautes. Face aux Canaries, on a eu du mal à s'acclimater à la chaleur mais encore une fois, on se procure les meilleures situations sans parvenir à marquer. C'est dommage."
L'Ukraine et l'Espagne, que vous affrontez demain, sont comme vous qualifiées pour le Tour Elite de l'Euro 2008. Ces deux matches sont donc très importants dans votre préparation.
"C'est idéal. On a affaire à ce qui se fait de mieux au niveau européen. L'Ukraine, c'est collectivement qu'elle est impressionnante, sans grand génie individuel. Elle fait preuve de beaucoup de rigueur et pourra en surprendre plus d'un. Surtout, les joueurs font preuve d'un engagement parfois à la "limite". L'Espagne, c'est ce qui se fait de mieux chez les jeunes. Elle est Championne en titre, très forte techniquement, va très vite dans la transmission de balle. On a pu le vérifier en regardant ses matches durant ce tournoi. Elle est composée de garçons expérimentés, la plupart faisant déjà des apparitions régulières en professionnel. Avant notre Tour Elite, cela permettra de nous situer, sachant tout de même qu'on a beaucoup d'absents pour cette Copa Del Atlantico."
Au cours du tournoi, le manque de réussite offensive semble être le souci principal. Comment l'expliquez-vous ?
"Face aux Canaries, après avoir joué le dimanche en Championnat, on a subi les grèves des aiguilleurs du ciel ce qui a compliqué le voyage. Il a fallu ensuite se réhabituer à la chaleur qui n'est pas présente actuellement en France. Cela explique peut-être le résultat du premier match. Face à l'Ukraine, les occasions, on les a eues. Malheureusement, le dernier geste n'était pas à la hauteur. Les entraîneurs mettent donc l'accent sur ce point avant notre dernier rendez-vous. Puis le groupe a été renouvelé pour cette épreuve, les automatismes doivent donc se créer."
Après un an et demi en sélection, quel regard portez-vous sur votre parcours en bleu ?
"Je me rappelle très bien de mes premiers pas face à l'Angleterre. J'étais intimidé, j'avais peur de mal faire et j'étais même surpris d'avoir été appelé. J'ai trouvé un groupe vraiment super et surtout, le sélectionneur m'a fait confiance en me convoquant à chaque fois depuis. Aujourd'hui, mon objectif est de pouvoir disputer une phase finale de Championnat d'Europe, ce qui est le summum en sélections de jeunes."
Aujourd'hui attaquant, vous avez pourtant évolué de nombreuses saisons au poste de libéro. Comment s'est opéré ce changement ?
"J'ai débuté à l'Olympique de Marseille où j’ai joué pendant huit ans. J'étais libero et j'avais tendance à souvent aller de l'avant. J'effrayais d'ailleurs mes entraîneurs et les coéquipiers avec mes prises de risques. Après en avoir discuté avec le staff technique, j'ai fait un test en tant que milieu droit puis j'ai encore avancé d'un cran. Au début, je me considérais d'ailleurs plus comme un passeur qu'un finisseur. Mais depuis un an, en travaillant beaucoup devant le but à l'entraînement à Monaco, j'ai appris à finir le travail de l'équipe, à ne plus avoir peur du but, des face-à-face et à être plus décisif. Je suis devenu un peu plus "égoïste". Depuis cinq ans, je suis donc en attaque, un poste qui me plait beaucoup."
Gardiens de but
- David de Gea Quintana (Club Atletico Madrid SAD)
- Oyer Olazabal Paredes (FC Barcelone)
Défenseurs
- Mikel San José Dominguez (Liverpool FC)
- Luis Hernandez Rodriguez (Real Madrid CF)
- Guillermo Savall Perera (RCD Espanyol SAD)
- Victor Ruiz Torre (RCD Espanyol SAD)
- Didac Vila Rosello (RCD Espanyol SAD)
- José Maria Anton Samper (Real Madrid CF)
- Andreu Fontas Prat (FC Barcelone)
Milieux de terrain
- Ignacio Camacho Barnola (Club Atletico Madrid SAD)
- Daniel Parejo Munoz (Real Madrid CF)
- Borja Garcia Freire (Rayo Vallecano de Madrid SAD)
- Igor Martinez Caseras (Deportivo Alaves SAD)
- Francisco Javier Hernandez Gonzalez (Real Madrid CF)
Attaquants
- Ismael Lopez Blanco (Athletic Bilbao)
- Emilio Nsue Lopez (Mallorca SAD)
- Daniel Aquino Pintos (Real Murcia)
- Ivan Bolado Palacios (Racing de Santander)
Sélectionneur :
- Ginez Melendez
Gardiens de but
- Eliazar Lopez Sanchez (UD Vecindario)
- Adrian Garcia Mendoza (UD Galdar)
Défenseurs
- Juan Manuel Moralez (CD Tenerife)
- Aitor Cruz Armas (CD Tenerife)
- Aridane Hernandez Umpierrez (UD Fuerteventura)
- David Rodriguez Barrera (Universidad LPGC)
- Eduardo Ramos Gil (UD Galdar)
- Nelson "Polo" (UD Las Palmas)
Milieux de terrain
- Jonathan Vega "Romario" (UD Las Palmas)
- Victor Machin Perez "Vitolo" (UD Las Palmas)
- José Padilla Carmona (UD Fuerteventura)
- Nichel Hernandez Soto (CD Orientacion Maritima)
- Nestor Gordillo Benitez (CD Tenerife)
Attaquants
- Ruben Rosquete (CD Tenerife)
- Armando Sosa Pena (UD Vecindario)
- Mikel (UD Las Palmas)
- Cristo (UD Las Palmas)
Sélectionneur :
- David Sosa
Après la rencontre, le sélectionneur Luc Rabat a regretté "le manque de réalisme de son équipe. Même si il nous manquait quelques joueurs en attaque, comme Obertan, Bakar ou N'Gog, nous n'avons pas réussi à marquer de but en trois rencontres, c'est une déception."
Espagne-France : 3-0 à Gran Canaria (500 spect.)
Buts Espagne : Nsué (16ème), Carmacho (49 et 81èmes)
France : M. Dreyer, M. Fachan, Y. Andreu, JC. Coubronne (puis R. Gérard, 46ème), L. Schwechlen, JP. Fontaine, M. Schneiderlin (cap), D. Malonga (puis Y. Lasimant, 59ème), R. Dedola (puis C. Pastor, 50ème), J. Pied, D. Duventru (puis Y. Mollo, 46ème)
Entraîneur : L. Rabat
Espagne : De Gea, Hernandez, Anton, Sanjose, Saval (cap), Carmacho (puis Fontas, 86ème), Borja, Parejo, Ismael (puis Aquiño, 70ème), Francisco Hernandez (puis Igor, 59ème), Nsue
Entraîneur : G. Melendez
- 18h00 : Iles Canaries – France : 0-0, Stade Municipal Maspalomas
- 20h30 : Espagne – Ukraine : 1-0, Stade Municipal Maspalomas.
Mercredi 13 février 2008
- 18h00 : France – Ukraine : 0-1, Stade Municipal de Vecindario,
- 20h30 : Iles Canaries – Espagne : 0-1, Stade Municipal de Vecindario.
Vendredi 15 février 2008
- 18h00 : Iles Canaries – Ukraine : 0-4, Stade de Gran Canaria,
- 20h30 : Espagne – France : 3-0, Stade de Gran Canaria.
Classement final
- 1. Espagne
- 2. Ukraine
- 3. France
- 4. Iles Canaries
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