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Actufoot : FFF
Le dossier de consultation contenait l’ensemble des informations et des requêtes permettant aux équipementiers intéressés de construire une offre complète et ferme, à la fois technique, logistique et financière, répondant au cahier des charges de la FFF : besoins en équipements pour l’Equipe de France, les autres sélections nationales et la Coupe de France ; engagements à prendre sur le choix des produits et des collections, les processus de commande, de livraison, de stockage, les innovations techniques ; moyens humains engagés dans l’exécution du contrat ; structure de l’offre financière sollicitée ; etc…
Le dossier a été adressé le 3 janvier 2008 à dix grands équipementiers internationaux. A la date fixée du 13 février, trois entreprises ont remis une offre à la Fédération : adidas, Nike et Airness.
Ces trois offres constituent des offres de grande qualité, traduisant une compréhension approfondie des besoins de la FFF et une volonté réelle des candidats de se mettre à la hauteur des attentes de celle-ci.
adidas et Nike ont été auditionnés à leur demande par le comité de suivi instauré au sein de la FFF pour piloter la consultation, évaluer les offres et formuler toute recommandation au Conseil Fédéral.
Après l’analyse approfondie des offres reçues, il est apparu que :
- les trois offres répondent de façon complète, détaillée et convaincante au cahier des charges fixé par la FFF dans le dossier de consultation ;
- l’offre de Nike s’établit comme l’offre financièrement la mieux disante ;
- le montant de cette offre est supérieur au prix de réserve déposé chez un huissier par le Président de la FFF avant la remise des offres.
Nike versera à la Fédération une contribution financière garantie de 320 M € sur la durée du contrat, soit une moyenne de 42,66 M € par saison (le contrat s’étalant sur sept saisons et demie). A cette contribution s’ajouteront une dotation en équipements de 2,5 M € par saison complète et des primes liées aux performances de l'Equipe de France lors des phases finales de la Coupe du Monde et de l’Euro. Au total, le nouveau contrat apportera à la Fédération des ressources quatre fois et demie supérieures à celles que lui procure le contrat actuel.
Le Conseil Fédéral a tenu à rendre hommage à adidas, équipementier en titre de l’Equipe de France et de la FFF jusqu’au 31 décembre 2010. Pendant près de 40 ans, adidas a accompagné le football fédéral dans son développement et l’Equipe de France dans ses conquêtes internationales. Le recours légitime à une consultation pour choisir le futur équipementier des Bleus ne fait pas oublier à la FFF la longue aventure partagée avec adidas et le partenariat étroit et fructueux noué au fil des années, partenariat qui se poursuivra jusqu’à la fin de 2010.
Bruno Martini en Italie et Sélections : Stage OFAJ -18 ans
- Abdoulaye Keita (G. de Bordeaux)
- Mamadou Samassa (EA Guingamp)
Défenseurs
- Frédéric Duplus (F.C. Sochaux M.)
- Mickaël Nelson (Montpellier HSC)
- Nicolas Seguin (Ol. Lyonnais)
- Clévid Dikamona (SM Caen)
- Abdel El Kaoutari (Montpellier HSC)
- Mamadou Sakho (Paris-SG)
Milieux de terrain
- Yann M'Vila (Stade Rennais)
- Maxime Partouche (Paris SG)
- Frédéric Bulot (AS Monaco)
- Josua Guilavogui (AS saint-Etienne)
- Yacine Brahimi (Stade Rennais)
- Alfred N'Diaye (A.S. Nancy-Lorraine)
Attaquants
- Damien Le Tallec (Stade Rennais)
- Henri Saivet (G. de Bordeaux)
- Emmanuel Rivière (AS. Saint-Etienne)
- Romain Miguet (Ol. Lyonnais)
- Chef de délégation : Jean-Pierre Charbonnier
- Entraîneur national-Sélectionneur : Eric Mombaerts
- Entraîneur-adjoint : Franck Boschetti
- Entraîneur gardiens de but : Sylvain Matrisciano
- Médecin : Dr Edouard Lipka
- Kinésithérapeutes : Bruno Vignozzi
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Coupes : Challenge de France Féminin
Total de buts marqués
Plus grand nombre de buts marqués sur une journée
Moins grand nombre de buts marqués sur une journée
Moyenne de buts par match
Meilleure attaque
Moins bonne attaque
Meilleure défense
Moins bonne défense
Meilleur buteur
Série de matches sans défaite
Série de victoires
Série de matches nuls
Série de défaites consécutives
Plus grand nombre de buts inscrits dans un match
Plus grand nombre de cartons jaunes reçu
Moins grand nombre de cartons jaunes reçu
Plus grand nombre de cartons rouges reçu
Moins grand nombre de cartons rouges reçu
Affuence totale (240 matches joués)
Affluence moyenne par match
Meilleure affluence
Meilleure affluence moyenne
Meilleure attaque
Moins bonne attaque
Meilleure défense
Moins bonne défense à domicile
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Des conditions de jeu particulières
- Spartak 2-0 OM
Une pelouse synthétique, une température bien en dessous de zéro, les conditions du match entre le Spartak Moscou et l’OM étaient inhabituelles. Les Olympiens s’y sont adaptés hormis la mauvaise nouvelle venue de la blessure de Kaboré.
«La pelouse nous a peut-être un petit peu gêné, mais sans plus» confie Djibril Cissé après la qualification face au Spartak. La pelouse synthétique du stade Luzhniki n’aura donc pas eu l’impact tant redouté sur cette partie. Toutefois, Charles Kaboré y a récolté une blessure à la cheville qui l’éloignera des terrains pour deux semaines. A contrario, elle n’a pas semblé dérangé les techniciens et les joueurs rapides comme Djibril justement ou encore Mathieu Valbuena, Samir Nasri ou Mamadou Niang. La vitesse de jeu ne s’en est pas trouvé altéré et personne n’a été gêné par des faux-rebonds, réduits à néant sur une telle surface. Seul bémol à ce gazon qui n’est pas devenu maudit pour Marseille. La zone d’échauffement des remplaçants se limitait à un bandeau de moquette vert d’environ 25 mètres de long sur 2 de large posé à même la neige autour du terrain… On a vu mieux pour se préparer à entrer en jeu.
Ce qui a par contre plus perturbé les hommes d’Eric Gerets, c’est bel et bien le froid glacial de la capitale russe. Le thermomètre affichait ainsi une température bien en dessous de zéro. Tous les joueurs marseillais, à l’exception de Mathieu Valbuena et Bolo Zenden entré en seconde période, portaient des gants. Samir Nasri, Mamadou Niang, Charles Kaboré et son remplaçant Wilson Oruma arborait même, et c’est plus rare sur un terrain de football, arboraient un cache-oreille noir. Heureusement, il n’y eut aucune blessure à signaler en raison du froid.
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Eric Gerets
Eric Gerets : «On a dominé mais on perd»
- Spartak 2-0 OM
La réaction d'Eric Gerets après la qualification en 16e de finale acquise à Moscou face au Spartak.
Eric, que pensez vous de la rencontre de ce soir ?
On a joué trente minutes. J’avais l’impression que c’était un match amical tellement c’était facile pour nous. On a eu des occasions, on a même tiré sur le poteau. Puis, la fatigue est arrivée et, après la demi-heure de jeu, on n’est pas resté sur les positions établies. Ensuite, le Spartak de Moscou a eu plus d’espaces pour jouer. On a pris un but sur une phase confuse. On a commencé la deuxième période avec de bonnes intentions mais, logiquement, la fatigue s’est emparée des joueurs. J’ai rarement vu un match comme celui d’aujourd’hui, où l’on a dominé mais, au final, on perd 2 buts à 0.
Cette défaite peut-elle casser la bonne dynamique actuelle ?
Heureusement qu’il y a la qualification au bout. Toutefois, je suis par contre inquiet de l’état physique de quelques joueurs.
Pensez-vous que l’OM puisse faire quelque chose dans cette compétition ?
L’entraîneur du Spartak a dit qu’il nous voyait gagner la coupe UEFA. J’espère qu’il a raison mais je suis plus modéré. Je tiens à souligner que M’Bami a fait un grand match, il a été le meilleur olympien sur le terrain. On s’est qualifié grâce au banc et c’est une bonne chose car certains joueurs arrivent à bout de souffle. Les joueurs du banc ont montré qu’ils avaient faim.
SPARTAK 2-0 OM
SPARTAK 2-0 OM
BATTU MAIS QUALIFIE
- Spartak 2-0 OM
Après avoir frappé deux fois les poteaux en première mi-temps, l’OM a connu une fin de match difficile, s’inclinant 2-0. Insuffisant cependant pour l’empêcher de continuer sa route en Coupe de l’Uefa.
SPARTAK MOSCOU 2-0 MARSEILLE
2-0 Pavlyuchenko (85e)
L’OM sera au rendez-vous qu’il s’était fixé. Le 6 mars, les Phocéens recevront le vainqueur du 16e de finale entre le Zenit et Villareal (en soirée). Et si le score final pourrait laisser imaginer que l’équipe s’est faîte peur, le Spartak n’a réellement cru en ses chances de renverser la nette tendance de l’aller qu’à cinq minutes de la fin, après le but de Pavluchenko. Ce fut trop court. Et cela aurait été un vrai petit scandale, tant la rencontre livrée par les Marseillais, et notamment la première période, ne pouvait leur réserver les prolongations.
Ce ne fut pas une promenade de santé. On s’en doutait. L’OM s’était préparé au climat, à la surface de jeu, et bien sûr à la réaction de son adversaire giflé à l’aller. On ne badine pas avec l’honneur en Russie. Les joueurs de Cherchesov ont donc tout entrepris pour redorer le leur, rêvant aussi à un improbable exploit. Pour l’OM, il était donc indispensable de se murer de sérieux. Et, comme l’avait appelé de ses vœux Eric Gerets la veille, compléter le professionnalisme d’une bonne dose d’offensive. Celle-ci prit la forme de contres rapides en première période, notamment côté droit où Maidana avait un mal de chien à contenir les montées et les poussées dans son couloir. Il fut aussi beaucoup question de frappes. Deux de Valbuena (10e) et Cissé (36e) heurtèrent même le poteau, dans un stade redevenu subitement silencieux.
Le montant résonnait presqu’encore quand le Spartak prit l’avantage. Pavlenko, à bout portant, fusillant Mandanda à la grande joie du virage russe (40e, 1-0). Auteur d’un bon plongeon devant Willeton auparavant (22e), le portier n’avait cette fois guère eu la place de signer un nouvel exploit. Concédée à cinq minutes de la pause, dans un joli vacarme, cette ouverture du score laissait présager des moments difficiles aux joueurs marseillais.
Et notamment un début de deuxième mi-temps entreprenant des Moscovites. Ils y jouèrent leur va-tout. Mais les Phocéens eurent le répondant nécessaire. Pas une once de panique. Une vraie robustesse. La charpente ne vacilla pas. Les Olympiens surent remettre le pied sur le ballon. Sans, par contre, parvenir à reporter le danger devant le but de Pletikosa. On aurait ainsi pu en rester sur cette courte défaite. Mais une attaque placée du Spartak allait pimenter la fin de rencontre. Pavluchenko ne manquant pas une occasion en or, au point de pénalty, après un arrêt réflexe fantastique de Mandanda (85e, 2-0). Autant dire que les « chœurs de l’armée rouge » du Spartak reprirent de plus belle, poussant leurs protégés vers les prolongations. Et comme toujours en pareille situation ces rushs de la dernière chance laissèrent aussi des espaces pour un contre fatal. Les partenaires de Cana n’en tirèrent pas les fruits. Mais la qualification qu’ils étaient venus chercher, était bien là dans leurs valises à l’heure de rentrer à Marseille.
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